Les photographes de «Libé» ont suivi les blocages et manifestations qui ont réuni plusieurs centaines de milliers de personnes dans les rues ce jeudi 18 septembre à l’appel des syndicats.
Les journalistes du titre reprochent à Eve Szeftel, arrivée en janvier à ce poste, «des prises de position dénaturant l’identité profonde du titre» et «des manquements graves et répétés à l’éthique journalistique».
La participation massive à la grève, jeudi, démontre le pouvoir d’organisation des syndicats. Au niveau politique, le PS espère mettre la pression sur le gouvernement tandis que La France insoumise vise la démission d’Emmanuel Macron.
Une semaine après la mobilisation du 10 septembre, 55 000 personnes ont défilé dans les rues de Paris, selon la police, ce jeudi 18 septembre, à l’appel des syndicats. Récit de la journée, heure par heure.
A l’arrivée des forces de l’ordre, l’individu qui n’a pas encore été identifié, aurait refusé de jeter son arme au sol. Aucun enfant n’a été blessé, a assuré le procureur de Toulon.
Conformément aux consignes répressives passées par le ministre de l’Intérieur démissionnaire, Bruno Retailleau, les forces de l’ordre ont interpellé massivement et frappé plusieurs manifestants lors de charge un peu partout en France.
Réunis ce jeudi 18 septembre à Bruxelles, les Vingt-Sept ne se sont toujours pas accordés sur un plan climatique définitif à fournir à l’ONU en amont de la COP30, qui aura lieu en novembre. Seul un compromis a minima est ressorti des négociations, qui doivent se poursuivre en octobre.
Avec plusieurs centaines de milliers de personnes dans les rues, l’appel de l’intersyndicale a largement trouvé son écho jeudi en France. Les revendications disparates reflétaient surtout une déconnexion croissante entre le pouvoir politique et les citoyens.
A quatre jours de l’assemblée générale des Nations unies où de nombreux pays reconnaîtront l’Etat palestinien dans le sillage de la France, Emmanuel Macron met en garde l’Etat hébreu dans une interview à la télévision israélienne.
Cible ces derniers mois de l’extrême droite catholique, l’archevêque de Marseille et homme de confiance du pape, est mis en cause, ce jeudi 18 septembre, dans sa gestion de deux graves affaires de violences sexuelles. L’archidiocèse réfute ces accusations.
Images mémorables, manifestations et annonce d’un partenariat technologique : le passage de Donald Trump en Angleterre a ressemblé à un numéro d’équilibriste pour contourner les multiples désaccords.
Le nombre important de manifestants ce jeudi 18 septembre dans les rues de plusieurs villes de France marque l’importance de ces organisations destinées à encadrer la colère dans le pays. Le pouvoir doit en tenir compte.
L’appel des syndicats pour tenter de peser sur les prochains choix budgétaires, ce jeudi, a été entendu. Plus de 500 000 personnes ont manifesté en France dont 55 000 à Paris, ont annoncé les autorités. Un million, selon la CGT.
Environ 150 personnes ont, ce jeudi 18 septembre, tenu un piquet de grève et empêché l’accès aux usines installées au cœur du bassin industriel du Territoire de Belfort. L’option «paralysie totale» est privilégiée aux manifestations.
L’association activiste et la parlementaire Génération.s dénoncent le traitement médiatique de la récolte de signatures par Europe 1 et CNews, ainsi que l’adhésion au moins tacite des intervenants à la théorie du grand remplacement.
Risquant l’arrestation sur le sol britannique en raison de son soutien à Palestine Action, une organisation classée «terroriste» par Londres, la lauréate du prix «Sky Arts Awards for literature» pour son roman «Intermezzo» n’a pas pu recevoir sa récompense.
L’avocat du couple présidentiel dans le procès qu’il intente à une podcasteuse trumpiste a annoncé à la BBC qu’il fournirait au tribunal des «preuves photographiques et scientifiques» de la féminité de la première dame. Accréditant l’idée qu’être une personne trans serait une insulte ou une honte.