Fier·es d’être chauves : «Quand je croise mon reflet dans le miroir, je me dis “meuf, t’as de la gueule !”»
Ils et elles racontent à «Libé» leur rapport décomplexé à leur crâne chauve dans une société où la boule à Z n’est pas pensée pour être arborée avec fierté. Dans le premier épisode de notre série, Salomé, coiffeuse, s’est rasé le crâne quatre mois avant son mariage.