France - Libération - Economie

Après «Bleus, Blancs, Rouges», l’auteur breton publie «l’Etendard sanglant est levé», deuxième tome d’une trilogie noire sur les années 70-80 en France, entre alternance politique, barbouzes, terrorisme et disco.

Une photo sur un site d’immobilier a permis de retrouver un portrait italien du XVIIIe siècle, disparu depuis qu’un marchand d’art juif d’Amsterdam avait été contraint de le brader en 1940. Les propriétaires sont les descendants d’un financier du Reich enfui en Amérique du Sud.

Principal soutien d’Israël, les Etats-Unis pourraient s’opposer à la prolongation de la mission de la Finul dans le sud du pays. La semaine dernière, le président libanais Joseph Aoun avait plaidé pour leur maintien.

A la tête des centres pour le contrôle et la prévention des maladies, Susan Monarez s’était opposée aux «directives non scientifiques et dangereuses» du ministre de la Santé antivax Robert Kennedy Jr.

Alors que la fédération des taxis avait annoncé vouloir «mettre le pays à l’arrêt» pour dénoncer la réforme du transport sanitaire, elle estime désormais n’avoir «aucune garantie d’avoir un interlocuteur politique légitime».

Le nombre de mineurs sans abri a progressé de 6 % par rapport à 2024 et de 30 % par rapport à 2022, selon un baromètre publié ce jeudi 28 août par Unicef France et la Fédération des acteurs de la solidarité.

L’assaillante serait une femme transgenre de 23 ans, qui s’est suicidée après avoir fait feu sur une église du Minnesota mercredi 27 août au soir, pendant une messe de rentrée pour les élèves.

La rédaction de «Libération» compile les principales infos du jour

Quelques jours avant de quitter son poste après quatre années, le chef d’état-major des armées françaises partage son analyse sur le conflit entre la Russie et l’Ukraine, l’état des menaces pour l’Europe et la nécessaire adaptation de la défense de l’Hexagone.

Les démarches effectuées par la romancière Leïla Slimani et l’écrivain argentino-canadien Alberto Manguel pour faire sortir une famille du territoire en guerre n’ont pas abouti. Mais céder à la résignation face à l’esprit vengeur de Nétanyahou, à la folie meurtrière de Poutine, aux errements de Trump, à la montée du racisme et de l’antisémitisme serait «cracher sur notre passeport d’homme», écrivent-ils à «Libération».

Leila Guerriero retrace dans un récit minutieux le parcours de Silvia Labayru, maintenue recluse et torturée à 19 ans par la dictature argentine.

Avec son association Robin·e·s des bennes, Louise Boyard collecte et fournit des invendus alimentaires ou des vêtements, avec pour principe la gratuité absolue et aucun contrôle des revenus.

Depuis quinze ans, l’ancienne colonie de vacances est devenue un lieu autogéré emblématique de la commune du Finistère. Fin juin, ses occupants ont appris la prochaine vente aux enchères du bâtiment et se mobilisent pour pouvoir rester.

Le Premier ministre, qui «engagera la responsabilité de son gouvernement» devant l’Assemblée nationale le 8 septembre, était ce mercredi soir au 20 heures de TF1.

Endettement, consommation, droits de douane… Alors que François Bayrou n’a de cesse de peindre un tableau apocalyptique de la situation, «Libération» a demandé à des experts de faire le point sur les principaux piliers de l’économie française.

En agitant les frayeurs budgétaires et en alimentant l’instabilité politique, François Bayrou joue un jeu dangereux : les patrons détestent plus que tout l’incertitude, rappellent les économistes interrogés par «Libération».

Mercredi soir sur TF1, François Bayrou a répété son discours alarmiste pour défendre son plan d’économies et tenter de sauver sa peau le 8 septembre. Une rhétorique de la peur qui se heurte aux avis des experts sur les piliers de l’économie française.

Le tribunal de première instance de la capitale marocaine a refusé la libération provisoire de la militante féministe Ibtissame Lachgar, jugée pour «atteinte à l’islam», malgré son état de santé «inquiétant».

A l’heure où les fausses informations pullulent, où l’IA menace de tout virtualiser, où les déconstructivistes ont contribué à relativiser les valeurs universelles, le sociologue Gérald Bronner pose avec nuance, dans son dernier livre qui sort au PUF ce mercredi 27 août, une question cruciale : serons-nous bientôt incapables de conserver un socle commun de réalité ?

Parution d’un recueil d’articles souvent acerbes de la star de la critique américaine.