France - Libération - Economie

Après la chute du gouvernement Bayrou, l’ex-ministre désormais haut-commissaire au Plan plaide pour une «logique de coalition» et appelle le bloc central à un «effort sur la fiscalité», tout en défendant le bilan de huit ans de macronisme.

Le renversement du Premier ministre, lundi 8 septembre, laisse en suspens les textes budgétaires, qui doivent être présentés le 7 octobre au plus tard.

La multicrise est là, entre vote de confiance de François Bayrou et dette, et c’est la responsabilité du chef de l’Etat. Mais aujourd’hui, où êtes-vous monsieur le Président ?

Le président américain avait nié l’existence de la missive en juillet, en pleine polémique sur ses liens avec le délinquant sexuel.

Les forces de l’ordre auraient tiré à balles réelles, ce lundi 8 septembre à Katmandou, sur une foule de plusieurs milliers de personnes qui se rapprochait du Parlement pour contester les décisions autoritaires du gouvernement.

Selon les premières projections, la gauche emmenée par le Premier ministre travailliste Jonas Gahr Støre a remporté les élections législatives, lundi, toutefois marquées par une poussée de la droite populiste anti-immigration.

Les parlementaires Rassemblement national et ceux de gauche ont tous voté contre la confiance au Premier ministre. Au sein du bloc central, seuls Les Républicains ont voté en ordre dispersé.

L’agglomération, dirigée par la gauche, avait annoncé la semaine dernière qu’elle avait annulé la participation du philosophe à l’événement littéraire en raison de «déclarations polémiques» de l’auteur.

Si le parti d’extrême droite privilégie une nouvelle dissolution de l’Assemblée nationale, les insoumis plaident pour la démission ou la destitution d’Emmanuel Macron, en vue d’une élection présidentielle anticipée. Une option inenvisageable pour Marine Le Pen, qui espère échapper en appel, début 2026, à sa peine d’inéligibilité.

Les députés ont scellé le sort du chef du gouvernement ce lundi. Il devrait présenter sa démission au Président mardi matin.

Pour comprendre l’entourloupe politique d’un vote de confiance perdu d’avance, une question se pose : pourquoi le Premier ministre déchu répète-t-il depuis quarante ans être un adepte du compromis, alors qu’il n’en a cherché avec personne ?

Accusé d’avoir empoisonné 30 patients dont 12 mortellement, l’ex-anesthésiste de Besançon nie les faits malgré un faisceau d’éléments accablants.

Désavoué à l’Assemblée, le Premier ministre remet sa démission au Président ce mardi 9 septembre. Le chef de l’Etat doit une nouvelle fois trouver une formule pour résoudre une équation politique impossible.

Filmé attablé lors du Kouss-kouss festival, le maire de Marseille a été la cible de nombreux commentaires injurieux sur les réseaux sociaux.

Les députés LR ont voté en ordre dispersé ce lundi 8 septembre, avec 27 voix sur 49 en faveur du Premier ministre. Les huiles du parti se réunissent mardi pour débattre de la suite, sur fond d’opposition entre Bruno Retailleau et Laurent Wauquiez.

Gabriel O., soupçonné d’appartenir à la DZ Mafia, contestait ce lundi 8 septembre devant le tribunal administratif son récent transfert à la prison pas-de-calaisienne aux conditions «particulièrement difficiles» et, selon son avocat, touchant à «à la dignité humaine».

La rédaction de «Libération» récapitule les principales actualités de la journée.

Par son hara-kiri politique, le Premier ministre voulait marquer les esprits. Ce sont surtout ses confondantes erreurs dont on se souviendra.

Lieu phare dédié à la photo, l’établissement parisien annonce se séparer du Britannique, nommé à la direction en 2018.

Une cour d’appel de New York a confirmé, ce lundi 8 septembre, la condamnation du président américain énoncée en janvier 2024 par un jury populaire pour ses attaques répétées sur les réseaux sociaux contre l’autrice, qui l’accuse de viol.