France - Libération - Economie

Alors que le travail législatif peine à avancer ces dernières années, les commissions d’enquête sont devenues un outil politique pour les parlementaires et prennent de plus en plus de place. Retour sur neuf d’entre elles.

Dans une étude publiée ce mardi 24 juin, des scientifiques affirment avoir découvert comment différencier, de manière rapide et peu chère, l’ivoire de mammouth de celui des éléphants. Ce qui permettrait de lutter contre le commerce illégal des défenses de ce grand pachyderme.

Lorsqu’ils sont convoqués devant les parlementaires et sous serment, les dirigeants oscillent entre silence embarrassé et sorties savamment calculées.

S’il n’y a pour l’instant pas de forces prêtes à prendre le pouvoir en mains, cela ne signifie pas qu’il n’y ait pas d’opposants en Iran susceptibles d’incarner une transition démocratique, analyse l’eurodéputé Renew.

La création de Camille Boitel et Sève Bernard, célébration joyeuse de l’effondrement, a égayé l’ouverture du festival, marquée par l’annulation de la compagnie israélienne Batsheva.

Avant de se séparer sur un désaccord, syndicats et patronat ont travaillé sur plusieurs pistes pour équilibrer le régime des retraites. Près de six milliards d’euros pourraient provenir d’une désindexation partielle des pensions ou d’une hausse de la CSG des pensionnés, si le gouvernement s’en inspire. Avec un fort risque politique.

Depuis le 13 juin, les ripostes de Téhéran aux frappes israéliennes se font de moins en moins massives. Le régime misait sur son vaste arsenal de missiles mais ses infrastructures de lancement ont été détruites en grande partie par Israël.

Dans la nuit du 20 au 21 juin, une panne de climatisation avait conduit à l’interruption momentanée des chaînes du groupe. «France info» n’avait repris l’antenne en direct que vers 10 heures, dimanche.

Au onzième jour de conflit entre l’Etat hébreu et Téhéran, l’armée israélienne continue ce lundi 23 juin ses frappes tandis que l’Iran a lancé plusieurs missiles sur la base américaine proche de Doha, au Qatar.

Le candidat écologiste à la mairie de Paris propose de rendre 100 hectares supplémentaires aux piétons en six ans. L’élu continue de plaider pour une union de la gauche dès le premier tour, y compris avec LFI.

Sur les 18 centres de santé sexuelle du département, les sept tenus par la collectivité auront fermé au 1er juillet. Une décision comptable qui plonge usagères et employées dans le désarroi.

Le distributeur belge, en instance de reprise par Intermarché, envisage la suppression de 950 postes.

Bien que le régime iranien vacille, la mobilisation civile est trop paralysée par la guerre pour le renverser. La destitution du Guide suprême est l’hypothèse la plus évoquée à l’heure actuelle.

Quarante-huit heures après le bombardement des Etats-Unis sur des sites nucléaires iraniens, Téhéran a réagi lundi en tirant des missiles contre la principale position militaire américaine au Moyen-Orient. Une réplique qui semble calibrée pour éviter l’escalade.

Le régime iranien a lancé ce lundi 23 juin une riposte symbolique contre une base américaine au Qatar. L’idée d’écarter Ali Khamenei, prend de l’ampleur mais l’appareil répressif garde toute son efficacité.

Symbole des liens entre le Qatar et les Etats-Unis, elle est la plus grande base militaire américaine de la région.

Alors que les Jeux de Paris 2024 devaient laisser en héritage une nation de (jeunes) sportifs, le Snep-FSU, syndicat majoritaire des professeurs d’EPS, a alerté lundi 23 juin sur le manque d’infrastructures et une vision utilitariste de la discipline.

Ce lundi 23 juin, des membres de l’ONG se sont réunis devant l’ambassade de Chine en France pour réclamer la libération de sept reporters toujours emprisonnés à Hongkong, quatre ans après la fermeture de leur quotidien «Apple Daily».

De nombreux Iraniens tentent de traverser la frontière pour fuir les bombardements. Ils oscillent entre critique de leur gouvernement et colère contre l’attaque américaine.

Au lendemain des frappes américaines dimanche visant trois sites d’enrichissement, Donald Trump s’est félicité de la réussite de son opération. Mais des zones d’ombre persistent pour les experts, notamment la localisation de 400 kilos d’uranium enrichis à 60% qui ne seraient pas détruits.