France - Libération - Economie

Au côté de son nouveau quartet, l’un des ultimes apôtres du free jazz signe un album sur les oiseaux aux compositions frissonnantes.

Le parti du milliardaire et ancien Premier ministre est en tête dans les sondages pour les législatives de cette fin de semaine. Un temps classé parmi les libéraux, il cultive désormais des accointances avec Viktor Orbán et veut réduire l’aide à l’Ukraine.

Comme lors de la condamnation de Marine Le Pen, celle de l’ex-président de la République pour «association de malfaiteurs» a souffert d’un défaut d’explication publique et a laissé le champ libre à une médiatisation déséquilibrée. Or, la force d’une décision ne réside pas que dans sa conformité aux textes, mais dans sa capacité à être reçue par la société, analyse l’exgarde de Sceaux.

Avant une rencontre de la dernière chance ce vendredi pour obtenir un accord de non-censure, les socialistes peinent à faire valoir leurs idées auprès du Premier ministre. Très agacés, ils ne perdent pas encore espoir de faire plier le chef du gouvernement pour taxer les plus fortunés.

Dans le détail des factures des maires d’arrondissement parisiens consultées par «Libération», comme celle du VIIIe, certaines s’élèvent à plusieurs milliers d’euros pour l’achat de vêtements.

Malgré des consultations courtoises avec Sébastien Lecornu et des arrangements avec le bloc central pour se répartir les postes clés à l’Assemblée, la censure reste toujours une option pour le parti d’extrême droite. La question est de savoir quand.

La participation du médiatique expert climat dans des vidéos valorisant les solutions «durables» du groupe industriel français lui vaut d’être accusé de «science washing».

Anne-Cécile Violland, la rapporteure de la loi anti fast fashion à l’Assemblée, s’alarme de l’alliance entre Shein, le magasin parisien et cinq Galeries Lafayette. Elle défend l’urgence d’un texte contre cette «concurrence déloyale, massive et agressive».

Souvent décriés par leurs utilisateurs pour ne pas réellement les protéger des prédateurs en ligne, des outils de dating s’associent à un dispositif gouvernemental avec une campagne de sensibilisation aux arnaques amoureuses ce vendredi 3 octobre.

Al Khawad A. comparaît à partir de ce vendredi 3 octobre devant la cour d’assises du Maine-et-Loire pour avoir tué à coups de couteau trois jeunes de 16, 18 et 20 ans en plein centre-ville, dans la nuit du 15 au 16 juillet 2022.

En ex-RDA, la sensation d’être sous tutelle de l’Ouest persiste, nourrissant frustrations et nostalgie dont l’extrême droite profite.

L’écrivain et journaliste indonésien revient sur son rapport à sa terre natale et sur la crise et les mobilisations qui secouent le pays.

La ville indonésienne est menacée par le changement climatique. En 2022, le gouvernement indonésien a décidé de la déplacer à Nusantara. Une utopie ?

La transition alimentaire ne peut pas reposer uniquement sur la responsabilité individuelle. Elle doit être collective, systémique et équitable, estime Lionel Fournier, directeur Impact et Santé Durable d’Harmonie Mutuelle.

La deuxième édition du «régime alimentaire pour la santé planétaire» est publiée ce vendredi 3 octobre. Elle montre qu’il est possible de nourrir 10 milliards de personnes en diminuant le risque de mortalité et les émissions de gaz à effet de serre.

L’avocat de Gérard Depardieu a accusé, ce jeudi 2 octobre devant le tribunal correctionnel de Paris, l’émission d’investigation de France 2 d’avoir réalisé un montage fallacieux voué à provoquer la chute de l’acteur.

L’ex-photographe marocain a été reconnu coupable, ce jeudi 2 octobre à Créteil, de treize viols et quatre agressions sexuelles. La cour d’assises d’appel a prononcé contre lui la peine maximale, plus lourde qu’en première instance.

La plateforme américaine a reculé à Wall Street, mercredi et jeudi, à la suite de messages publiés sur les réseaux sociaux par le milliardaire. Elon Musk est lui-même le père d’une jeune femme transgenre.

Le président russe a dénoncé, ce jeudi 2 octobre, l’interception au large des côtes françaises d’un navire qui pourrait appartenir à la flotte fantôme de Moscou.

Un temps suspectés dans la disparition de la trentenaire, deux Tarnais, liés de loin au couple, ont raconté à la barre ce jeudi 2 octobre les préjudices que leur ont causés l’enquête et les rumeurs.