Agrégateur

Moins de vingt-quatre heures après la nomination de son gouvernement, l’ancien ministre des Armées a présenté sa démission à Emmanuel Macron ce lundi 6 octobre. Il n’aura passé au total que vingt-sept jours à Matignon. Un record.

Toute autre issue prolongerait l’insupportable déni dans lequel s’est enfermé le chef de l’Etat depuis son échec aux législatives anticipées de 2024.

La paralysie budgétaire américaine pousse les investisseurs vers des valeurs refuge. La star des cryptomonnaies établit un nouveau record.

A 10h, ce lundi 6 octobre 2025, les GG : Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat, débattent de : Lecornu a claqué la porte, et après ?

Le Hamas a affirmé sa volonté de parvenir à un accord pour mettre fin à la guerre à Gaza et procéder à un échange « immédiat » d’otages et de prisonniers avec Israël.

Le chef de l’exécutif est sur la sellette, alors qu’une partie de la jeunesse réclame sa démission au roi Mohammed VI. Le souverain devrait s’exprimer devant le Parlement, vendredi.

L’ancien ministre des armées est resté en fonctions trois fois moins longtemps que Michel Barnier. Il faut même remonter à la IIIᵉ République pour trouver un gouvernement aussi éphémère.

En présentant sa démission moins d’un mois après sa nomination, Sébastien Lecornu s’inscrit comme le Premier ministre le plus éphémère de la Ve République

A peine le gouvernement Lecornu nommé, le ministre de l’Intérieur avait dénoncé une équipe ne reflétant pas la «rupture promise» et menacé de démissionner, selon plusieurs sources LR, précipitant ainsi la chute de Sébastien Lecornu.

Après avoir remis sa démission à Emmanuel Macron, M. Lecornu, qui est resté vingt-sept jours à son poste, a pris la parole dans la cour de Matignon, lundi matin.

Au menu de la deuxième heure des GG du lundi 6 octobre 2025 : Urgent, Lecornu claque la porte ! Avec Barbara Lefebvre, professeur d'histoire-géo, Bruno Poncet, cheminot, et Charles Consigny, avocat.

La directrice de recherche émérite au CNRS analyse la flambée de l’antisémitisme en France, alors que les actes antijuifs avaient presque disparu dans les années 1990.

Dans une tribune au « Monde », le directeur du Centre de recherche sur les médias et le journalisme s’inquiète des menaces qui pèsent sur l’accès à l’information et analyse les dangers que représente un journalisme mis au service du pouvoir politique plutôt que des citoyens.

Wholesale shrimp costs have jumped 21% since president imposed levies on India

Après l’annonce de la démission de Sébastien Lecornu, la Bourse de Paris a brutalement chuté ce lundi 6 octobre

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